dimanche 21 février 2010

LA GALERIE PARISBEIJING EXPOSE DES PHOTOGRAHES CHINOIS

J’ai encore trainé sur le net……et voilà !
Au risque de passer pour une succursale de cette galerie, je me dois de vous la faire découvrir en affichant quelques unes des œuvres de qualité qu’elle offre à la découverte sur le net
Son a dresse :

http://www.parisbeijingphotogallery.com/main/fr/artistes.asp

J’ai du faire un choix hélas, pour attiser votre curiosité, mais croyez moi, LORSQUE VOUS SEREZ SUR CE SITE, ouvrez tous les artistes, (encliquant sur les vignettes, puis le dossier ouvert, sur l’image que vous souhaitez agrandir) car l’image titre n’est pas forcément attractive. Il y a à prendre et à laisser, mais surtout il y a des perles.
Autre avantage on peut ouvrir la galerie en français, anglais et chinois.

MA SELECTION pour vous donner l'eau à la bouche :

WEN FANG



Elle pratique la calligraphie depuis l’age de 6 ans ! Pourtant c’est une artiste contemporaine de tout premier plan. Ce qui prouve que les deux ne sont pas incompatibles.
C’est en visitant la cité interdite et en regardant les murs qu’elle a eu le choc plastique. Qui l’a incitée à réaliser sa série : walls. (c’est drôle car moi aussi j’adore faire ce genre de photos) Elle est aussi connue pour ses installations à base de photos dont le support sont des briques, ce qui lui permet de créer des instalations.. Exemple, l’escalier des générations, qui représente 200 pieds de chinoises chaussés – à découvrir sur le site).

LIU BOLIN



: « les bâches vertes utilisées sur les chantiers de construction ont remplacé le noir et le blanc des calligraphies traditionnelles : voici le visage de nos cités modernes, enveloppées de bandages, prêtes pour la métamorphose »
Cet extrait met bien en lumière le souci d’un travail qui n’est pas sans rappeler les grandes peintures chinoises traditionnelles, mais avec d’autres moyens et sur un autre thème.

2 commentaires:

Anonyme a dit…

Cette galerie vaut vraiment le détour; l'œuvre de Wen Fang nous invite à la méditation et m'a fait penser aux pierres de rève chinoises. Je relisais hier un ouvrage sur les bonsaîs où il était question des suisekis (ou suizekis), évoquant les paysages de montagne. Ces objets me semblent à rapprocher de ce que fait cette artiste.
Quant à la dernière photo de ton article (Heavenly city de Yang Yongliang)), comme tu le dis, il ne faut pas hésiter à agrandir l'image pour mieux la comprendre.

Sérénité'art a dit…

Et oui, l'infiniment petit est lui aussi porteur de l'infiniment grand......