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Tout comme la nature, en ce moment, je suis sur un pallier, je stagne, j’ai l’impression de ne plus avancer dans la pratique de mon art.......
C’était comme cela du temps des Beaux arts : il y avait des moments ou “je tournais en rond”....... le spleen en quelques sorte, un manque d'énergie, de ressort.... !
Donc avant qu’il y ait un nouveau déclic, je vous mets quelques images que j'ai faites au village sur le bord de la départementale et qui expriment bien la dégradation d’un élément non actif et non protégé....... et l'emprise qu'ont sur lui les intempéries.....
Il s’agit d’une barrière de bois posée il y a un an. Comme elle n’a pas été peinte, on y voit l’usure du temps. C’est intéressant de ce point de vue. On voit vraiment la “chair” du bois et on "touche" à sa vulnérabilité......... on voit cela aussi sur les bois flottés qui sont parfois merveilleux...... tenez, c'est cela, je flotte, en ce moment..... pas de racines ni de tendres bourgeons, rien de merveilleux !......
Comme disait si bien le serpent du livre de la jungle...... aies confiance ! zzzzzzzzzzzzzzzz !
2 commentaires:
laisser aller, laisser être.
Le vide est promesse de jaillissement
si on lui accorde le temps de mûrir,
de se déployer
sans l'obstruer à toutes forces
avec n'importe quoi, tout ce que l'humain invente depuis la nuit des temps pour éviter l'angoisse de se confronter au néant.
Belle flottaison alors !
C'est bien comme cela que je le comprends, mais je n'ai pas encore assez de lâcher prise pour ne pas ressentir cette vacuité comme la traduction d'une perte d'énergie....... qui me déstabilise encore.
Merci de votre passage !
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