Terminé le cycle du kaishu libre (ce qui n'exclue pas de poursuivre assidûment les exercices !)
Je suis contente. L'évolution se fait régulièrement et en douceur.
Pendant que le Maitre enseigne sous d'autres cieux, je m'essaye avec les exemples qui me sont proposés. Ci dessous, un poème de Wang Wei écrit à l'horizontale, en régulière simplifiée.
En dessous, à la verticale, mon exercice en xinshu.......
(ne hurlez pas les pros, je vous entends d'ici ! c'est seulement
un exerciiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiice !)
Le Torrent aux chants d'oiseaux
niǎo míng jiàn
rén xián guì huā luò
Homme au repos/fleurs de cannelier tomber
yè jìng chǔn shān kòng
Nuit silencieuse/printemps montagne vide
yuè chū jīng shān niǎo
Lune surgir/effrayer oiseau de montagne
shí míng chǔn jiàn zhōng
Parfois crier/printemps torrent milieu
(traduction des mots et du poème de François Cheng)
"Repos de l'homme. Chute des fleurs du cannelier
Nuit calme, de mars, dans la montagne déserte
Surgit la lune : effrayé, l'oiseau crie :
Echos des cascades printanières..... "
Quand à mon tracer (d'après exemple d'un document du maitre de calligraphie) prenez le pour ce qu'il est : des premiers pas balbutiants !Amusant de voir le départ et dans quelques mois, peut être, l'évolution..... C'est comme cela que je le prends ! Vous aussi j'espère.
mon exercice. |
J'ai pris t ces photos à Xi'an en 2006
Les musiciens étaient vêtus de costumes inspirés
de l'époque Tang. Epoque de Wang Wei.
cliquer pour agrandir.
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2 commentaires:
fine la guêpe.....on se comprend
Les précisions sont à l'usage de Loufoque, Nenette et autres visiteurs éventuellement critiques et senseurs !
On n'efface pas d'un coup l'expérience d'une vie et je reste moi même, directe et honnête.
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