mardi 18 novembre 2014

FRANÇOIS GABART VA JOUER DANS LA CATEGORIE "ULTIME" DES GRANDS TRIMARANS : BRAVO !


Le navigateur , gagne en Catégorie  "Imoca", la classe des grands monocoques, et passe à autre chose.
 j’ai un peu de retard pour vous parler de lui et ..........un  petit faible pour les monocoques et pour ce “petit Prince” de la voile !  Opiniâtre, et Charentais  de surcroît, c'est un battant qui a le sourire,  d’où ce mini post !
Il affirme avoir tout donné... Mais qui ne “donne” pas n’est pas digne de naviguer !
Un petit “pincement au-coeur”, François  ? Je pense à votre premier pas sur terre qui est un adieu, puisque vous ne chevaucherez plus les mers sur le célèbre coursier, Macif  !
Photos prises pendant le reportage.....  sur FR3

A la Marina de Pointe à Pitre , il se souvient..... de son rêve d’enfant,  puisque c’est dans cette Marrina qu’il fit ses premières armes...... tout en admirant l’exploit de Florence Arthaud.
Quand on voit les paquets de mer qu’il reçoit de plein fouet...... c'est le cas de dire qu'il faut se cramponner à la barre ! ça fait réfléchir !

voir les reportages qui vous parleront mieux que moi ! :


François Gabart  va jouer maintenant dans la cour des “ultime” et se réjouit d’avance devant l’importance et l'énormité du défi ! BON VENT !
Du coup, je me lance dans une nouvelle lecture qui me semble prometteuse : La brise de mer..... c'est vivifiant pour le corps comme pour les neurones !
En route pour les océans australiens, aux lendemains de la guerre de 1914 : Une vie entre deux océans de M L Stedman.

1 commentaire:

Sérénité'art a dit…

Avertissement : dans ce livre, contrairement à ce que suscite l'illustration de la couverture, il n'est pas question, à mon grand regret, d'une histoire de mer, mais plutôt d'une sombre histoire de rapt d'enfant, à l'éclairage de l'après guerre de 1914, en Australie. Le livre est bien écrit, mais les embruns manquent totalement à l'appel !