jeudi 2 juillet 2009

EDITER LA TRUFFE, UNE GALÈRE PAS POSSIBLE

Je suis écoeurée par l’attitude qu’ont envers leurs auteurs certaines maisons d’édition, et particulièrement par la mienne.
Sachant que nous (les auteurs), sommes isolés, ces entreprises agissent à leur guise et se conduisent COMME DES COUCOUS.
Impossible d’avoir un entretien correct avec « MON » éditeur : j’ai dû l’avoir EN TOUT ET POUR TOUT deux fois au téléphone et de plus, en langage télégraphique ! Je ne l’ai jamais vu, malgré mon invitation à notre chapitre pour la sortie de "Au plaisir de la truffe".
Impossible de dialoguer calmement au téléphone avec la réceptionniste, MEPRIS TOTAL DES QUESTIONS QUE JE POSE par fax ou par lettre.
Et je ne demande rien d’extraordinaire ! Je demande par exemple si on pourrait ajouter en annexe, car il y a demande, de quelques recettes en hongrois, anglais et italien (j’ai déjà les recettes) . Voyez que ce n’est pas anti-commercial ! Ou s’il est possible d’être avertie lorsqu’on me livre des bouquins…..
Pour n’avoir comme pourcentage sur ses ventes qu’un minimum : 5%, et avoir fourni tout de même textes, dessins et photographies, JE PENSE QUE JE SUIS PLUMÉE….

Heureusement qu’il me reste la possibilité d’en vendre moi-même sur les manifestations.
Je signale tout de même que chacune des maisons auxquelles j’ai eu affaire m’ont (première édition de mon livre comprise) grugée ou ont cherché à le faire.
Quelques cas, pour ne citer qu'eux : et je suis super gentille de ne pas livrer leur nom, comme ils le mériteraient
Celui de Vesoul qui souhaitait vendre 400 livres avant de me donner un pourcentage
Celui de Langres, (aujourd’hui à la retraite) qui m’a promis d‘éditer le livre et me l’a rendu au bout d’un an, sans le faire, et sans me dédommager.
Celui de Draguignan qui se trouve à l’heure actuelle sous les verrous après avoir soutiré de l’argent à ses auteurs, et qui ne m’a jamais rendu mes documents.
Celui de Lyon, qui voulait bien éditer à condition de faire lui-même les photos, (il se prétendait photographe) car c’était une bonne aubaine pour s’emparer du total, mes photos n’étant pas belle à son goût….
Il y en a eu aussi quelques cas normaux mais ils n'ont aucun mérite puisqu'ils refusaient d'éditer….. et ils ont eu tort de refuser. Tant pis pour eux.
Quand à mon éditeur actuel, s’il se prétend propriétaire des documents que je lui ai confiés, IL N’EN A PAS LA PROPRIÉTÉ INTELLECTUELLE, qu’il le sache. Il se permet tout de même de mettre quelques-unes de mes photos dans d’autres livres sans m’en demander l’autorisation (voir « la cuisine au champagne « de Mme Besem Pia QUI ELLE N’Y EST POUR RIEN) et de mettre deux trois photos qu’il a prises je ne sais ou dans le mien.
MA COLÈRE EST GRANDE.
Je n’ai aucune prise car je suis isolée comme le sont tous ceux qui ont affaire à ces maisons s’ils ne s’appèlent pas la baronne de Rotschild ou Madonna !
Je suis sure qu’il y a d’autres auteurs dans le même cas que moi. Que faire ?
S O S : VOIR CONTACT DANS LA MARGE À DROITE
Et je vais en parler à la société des auteurs bourguignons dont je fais partie. Mais si vous avez des idées, je suis preneuse.
A je vous jure qu'il faut "aimer la truffe" pour subir ce vampirisme !

3 commentaires:

Anonyme a dit…

tu es très belle ...

Sérénité'art a dit…

qui ose me dire un tel compliment ? L'ai je bien mérité ?
Je suis naturelle : c'est déjà pas mal......

Sérénité'art a dit…

C'est agréable, au petit matin, de trouver un tel message ! Merci mille fois. Je ne me suis jamais trouvée belle physiquement, par contre, j'ai toujours cultivé la sincérité du coeur et la pureté sentiments. Cela m'a conduite à un ermitage consenti. Si j'ai une âme jumelle, j'attends encore qu'elle se manifeste !